« Si j’avais su,
J’me serais barrée
J’n’aurais pas bu
Ce sale café
Si j’avais su
J’aurais refusé !
Quelle erreur
Ce jour là j’ai commise
Quelle horreur
Ce souvenir m’électrise
Quel malheur
Une vraie mouise !
Pourtant j’ai assumé
Ma sacrée connerie
Je t’ai conservé
Aux côtés de ma vie
J’ai beaucoup prié
Et un peu réfléchi !
Aujourd’hui c’est foutu
Y’a prescription
Trop d’années au jus
Avec mon vieux gardon
Aujourd’hui que serais tu
Sans ta vieille guenon ?
Tu n’en n’attends pas moins
De ta vilaine moitié
Et en bon Valentin
J’suis sûre tu vas aimer
Ce délire qui est mien
Et à toi est dédié.«
Louise
Si vous voulez faire comme elle, écrivez à
pascalberthier@montceau-news.com
// ]]>